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L'équipe MATA-web

Le premier salon événementiel Little Akihabara aura lieu ce week-end au domaine du Terral à Saint Jean de Védas le 27 et 28 Août 2011. Au programme : expositions, tournois de jeux vidéos, jeux de rôles et de société, concerts, cosplay.... Deux invités principaux à signaler : Crounchann et Tom Gobart (Ankama)

Little Akihabara

Little Akihabara est un salon événementiel autour de la culture japonaise en entrée libre et gratuite. A vocation régionale, celui-ci s’adresse à l’ensemble du public. Le but de ce salon est de promouvoir les associations locales et les indépendants qui travaillent autour de la culture japonaise et de permettre au public de rencontrer des auteurs, réalisateurs, professionnels du jeux vidéo, le tout dans une ambiance festive et un cadre agréable.

Différents pôles sont programmés tout au long du week-end:

- Expositions sur le manga et la culture japonaise

- Jeux vidéo

- Ateliers maquettes et figurines

- Animations et Cosplay

- Rencontre d’artistes indépendants autour de leur stand de produits

Et à l’occasion du salon, retrouvez également le concert Seibu 2nd Blast organisé par l’association Seibu durant la soirée du samedi 27 août.

Horaires

Little Akihabara

Samedi : 10h – 19h

Dimanche : 10h – 18h

Seibu Blast

Samedi : 19h30 – 23h30

 

Tarifs :

Little Akihabara : Entrée Libre et Gratuite

Seibu Blast : Billetterie Gratuite

- A partir du 23 août, billet à retirer à la médiathèque Jules Verne, 21 rue Auguste Renoir, 34430 Saint Jean de Védas

tél : 04.99.51.22.40

- A partir du 27 août, billet à retirer au point info du salon Little Akihabara et sur le stand de JapaNIdols

 


littleakihabara

Lieu :

Domaine du Terral

34 430 Saint Jean de Vedas

 

Seibu Blast

Pendant trois heures de show musical, Seibu met une scène à la disposition des musiciens amateurs pour qu’ils puissent se faire connaitre du public. Du rock à l’électro, tous les styles se côtoient pour vous en mettre plein les oreilles.

En 2010, la première édition a réunis dans une petite salle des fêtes trois performances musicales devant de nombreux spectateurs séduit par le show.

 

Masami Komuro

Né le Jeudi 10 mai 1990 à Foix, dans le sud de la France.  Il à commencé à apprendre le piano à l’âge de 5 ans, mais ses débuts en tant que compositeur se sont faits seulement en 2003, lorsqu’un ami lui a demandé de composer les musiques pour son jeu vidéo (un projet scolaire). En 2004, il a acheté un synthétiseur (Yamaha TG33) afin de composer et arranger des musiques pour des projets de jeux-vidéo amateur. En 2006, à Angoulême, il a rencontré Kiba Meigatsu pendant le cosplay ! Il lui a demandé alors de réaliser les arrangements de ses chansons.

A présent, il travaille comme compositeur, arrangeur & sound-designer sur divers projets (court-métrages, jeux-vidéos non commerciaux, chansons, etc.), et il encourage énormément les projets de musique japonaise en France.

 

K-Angels

Groupe d’idols françaises, les K-Angels, pour « Kawaii-Angels », menées par leur énergique leader Kim ont pour objectif de ravir le public au travers des chansons populaires de groupes comme les AKB48 ou les Berryz Kobo tout en jouant le rôle d’ambassadrices auprès du public français qui ne connait pas forcément ce style de musique. Depuis plus d’un an, le groupe a sillonné diverses conventions au travers de la France, constatant l’enthousiasme du public au contact des chansons d’Idols et engrangeant de l’expérience scénique qui lui permet de présenter un spectacle toujours plus à la pointe. Le groupe, en plein développement, espère vous proposer très bientôt ses propres chansons ! Les K-Angels sont un groupe ouvert, à la manière des Morning Musume, les membres changent et des auditions permanentes font en sorte de donner leur chance aux artistes envieuses de rejoindre le groupe. Venez donc assister à ce concert pour voir la « graduation » et les au revoirs de Kamy au groupe !  Il vous serra également présenté la nouvelle membre « Lyla » annoncé il y a peu

 

Jeux Vidéos

L’association Bemani Inside a pour but de présenter les Rhythm Games japonais de la société Konami. Le but de ces jeux est de frapper sur des boutons au rythme de la musique. DanceDanceRevolution, Beatmania IIDX et Pop’n music sont les 3 jeux que nous présentons le plus souvent. DanceDanceRevolution est le plus connu des jeux musicaux. Très apprécié du grand public comme des joueurs habitués. Pour y jouer, on utilise un tapis de quatre flèches. Le joueur suit le rythme de la musique et appuie sur les flèches du tapis quand les flèches arrivent en haut de l’écran. Pop’n music propose une interface colorée avec des personnages joyeux et une musique festive. La manette comporte neuf boutons, qui sont reportés à l’écran, sous forme de petits ronds appelés pop-kun. Il faut taper en rythme sur ces boutons au moment où les pop-kun atteignent la ligne rouge en bas de l’écran. Beatmania IIDX est apprécié du public grâce à son design underground et sa musique électronique. La manette comporte sept boutons et un scratch. Les touches défilent à l’écran, il faut taper en rythme lorsqu’elles arrivent sur la ligne en bas de l’écran.

Tournois de jeux vidéos avec KRN

 

Exposition : le manga par Direction Départementale du Livre et de la Lecture de l'Hérault

Le manga existe depuis un siècle au Japon. Aussitôt lu, jeté et remplacé, il est publié dans des magazines qui peuvent aller jusqu’à 300 pages. Son autre particularité est sa grande de diversité de sujets. Cuisine, Sport, Musique etc… il touche par conséquent des lecteurs de tout âge, de tout sexe et aux goûts multiples. Autres différences avec la bande dessinée occidentale : il est noir et blanc, sans parler évidemment du sens de lecture propre aux japonais.

Le manga n’est apparu en France que tardivement et timidement, à la fin des années 70. La production japonaise est considérable et, une infime partie arrive traduit dans nos pays. Pourtant, l’engouement aujourd’hui est réel. La France est le deuxième plus gros consommateur de Manga. A la différence de leurs aînés, habitués à la BD franco-belge, la nouvelle génération dévore les mangas. De Hokusai à Tesuka, du Manhua au Manhwa, découvrez les précurseurs, les séries cultes et les différences des pays d’Asie.

 

Exposition : Manga Music

ETONNANT PARADOXE AUQUEL NOUS INVITE LE MANGA…

Faire vibrer des sons et entendre des mélodies par la magie du trait et du dessin. Et pourtant, les liens entre manga et musique sont nombreux. Entretenant des rapports privilégiés avec la J-Pop à travers la japanimation (séries télévisées, dessins animés, cinéma d’animation, jeux vidéos), le manga reflète l’omniprésence de la musique dans la société nippone. Thème central de nombreuses séries, la musique est abordée dans ses aspects et ses genres les plus variés : du punk à la musique classique, de l’apprentissage d’un instrument à la formation d’un groupe, des enjeux commerciaux sous-jacents au bonheur de se défouler sur une scène, les pistes sont multiples et riches. Cette exposition tente de vous présenter cette diversité et cette capacité du manga à nous plonger dans des univers sonores divers.

Huit séries ont été sélectionnées pour leurs qualités narratives et graphiques : 20th Century Boys, thriller captivant où le rock incarne résistance et espoir face à une société totalitaire, Beck, qui décrit avec réalisme le parcours initiatique d’un jeune garçon et de son groupe de rock, Detroit Metal City, parodie hilarante et cynique du folklore du death metal et de la « metal attitude », Gogo Heaven, qui dénonce l’immoralité du show business à travers un groupe de quatre filles suicidaires, Me and the Devil Blues, ou la légende revisitée du grand guitariste de blues Robert Johnson, Nana, le récit des revers et des rivalités de deux groupes de rock tokyoïtes, Nodame Cantabile, une comédie sentimentale farfelue, où deux jeunes musiciens talentueux vont se rencontrer au travers des plus grands maîtres de la musique classique et romantique, Solanin, récit poétique où la musique reflète les doutes et les espoirs d’une jeunesse japonaise contemporaine désabusée.

 

Jeux de sociétés

Proposés et aimés par William Lefloch, coordinateur du Service Enfance Jeunesse à Saint Georges d’Orques ! Une exposition sur les jeux du monde illustrera le stand et vous permettra de voyager dans l’univers du Jeu !

Doushu Qui, Jeu d’échec chinois des animaux combattants

Les origines de ce jeu traditionnel chinois remontent probablement au cinquième siècle. En France, il s’est fait connaître le plus souvent sous un nom erroné « Xou Dou Qi ». Ce jeu est assez dur à se procurer sous nos latitudes, mais son plateau de jeux et ses seize pièces sont assez facile à construire, que ce soit sur un support cartonné ou en bois. La simplicité de ses règles en fait un jeu abordable même par les plus jeunes.

Ming mang , le jeu de Go des cimes

Cousin du jeu de Go et du Reversi quoique nettement moins connu, le Ming mang est un jeu d’origine tibétaine se jouant sur une table qui compte dix-sept cases au carré. Le terme « Ming mang » lui-même se traduit par « plusieurs yeux », ce qui renvoie aux règles du jeu communes au Go, et peut également être usité comme un vocable générique pour le mot « jeu » au Tibet. Il est surtout joué par les aristocrates et certaines communautés de moines.

 

Mah Jong, jeu de société d’origine chinoise.

Ce jeu ancestral est le plus populaire de Chine. On y joue à tout âge et quel que soit son niveau social. En chine, un foyer sur deux possède un jeu de mah-jong. En 1998, l’équivalent de notre ministère de la jeunesse et des sports a reconnu le mah-jong comme le 255ème sport Chinois.

Le jeu se compose de 144 « dominos » de plastique, de bois, d’os ou d’ivoire appelées tuiles. Sur ces tuiles, on retrouve des symboles de la culture chinoise comme les trois dragons : Dragons Vert, Rouge et Blanc ou encore les quatre vents : Vents d’Est, du Sud, d’Ouest et du Nord ainsi que 3 familles de chiffres formées par des bambous, des cercles et des caractères chinois numérotés de 1 à 9.

 

Xiangqi, jeu d’échec chinois

Le xiangqi, aussi appelé « échecs chinois » (par opposition aux échecs occidentaux) ou littéralement « échecs des éléphants », est un jeu de société combinatoire abstrait qui se joue sur un tableau rectangulaire de 9 lignes de large sur 10 lignes de long. Le jeu est également connu au Japon sous le nom de kawanakajima shōgi (le shōgi est un autre jeu d’échecs traditionnel au Japon, dont il existe aussi de nombreuses variantes).

 

Maquettes avec l'AEUG

L’Association pour l’essor de l’univers Gundam (AEUG) a été fondée afin de promouvoir la saga Mobile Suit Gundam. Créée en 1979 par Yoshiyuki TOMINO au sein du studio Sunrise, elle perdure encore aujourd’hui, fêtant son 30ème anniversaire en 2009. L’AEUG a pour but non seulement de partager la passion de Gundam, mais aussi et surtout de faire connaître cet univers aux néophytes. En outre, l’AEUG n’est pas seulement centrée sur Gundam : sa portée s’étend à l’Anime de Mecha en général, voire à toute l’animation japonaise.

Experte dans son domaine, l’AEUG donne aussi une coloration ludique à ses interventions. Ainsi, elle propose des expositions de maquettes avec notamment de nombreux Mecha, des ateliers de montage de maquettes, etc. De nombreuses animations qui sauront ravir tout les publics !

 

également :

- Jeux de Rôles par l'association Mindtrix et Sporz Original Outbreak par les éditions la Donzelle

- arts martiaux avec l'aikido, le bozendo, le Haedong Kumdo, kendo, Tae Kwon Do...

- culture japonaise avec l'association Tora no Maki

- le cosplay

 

Invités

Tom Gobart

Tom Gobart (scénariste – Lille): Né en 1983 à Montpellier, Tom se passionne très tôt pour l’écriture. Après des études en Arts du spectcle et divers petits boulots, il intègre le service « background » d’Ankama comme référent transmédia. Ce qui lui permet d’exercer ses talents sur les univers de DOFUS et de Wakfu. Tom développe actuellement plusieurs projets, comme co-scénariste de la série en stop motion d’Ankama Animations: Debil Starz ou encore scénariste sur le DOFUS Monster: BRUMEN TINCTORIAS.

Crounchann

Crounchann est un mammifère vivant principalement dans les arbres. Découvert en 1977, Crounchann s’est depuis accoutumé à la vie en société. Après plusieurs travaux d’architecte visant à réinstaurer la vie dans les arbres (comme ses maisons végétales des collines de San José), il se consacra plusieurs années à la bande dessinée sur papier recyclé ainsi qu’à la musique électro-acoustique. Venu naturellement au jeu vidéo en essayant de sensibiliser les enfants aux végétaux digitaux, il a fondé Ankama Play avec David Calvo et Maxime Plantady en 2008 et travaille actuellement comme lead artist sur Islands of Wakfu, prévu sur le XLA. Il continue à grimper aux arbres tous les jours, retrouvant là-haut les simples certitudes de l’altitude.

Lolo Chan

Née en 1990 dans le village éloigné de Pau, elle s’isole dés son plus jeune âge pour apprendre la maîtrise de l’art du dessin. Kunoichi peu commode, elle s’infiltre dans les festivals tel que le Little Akihabara en pensant se faire connaître et ainsi devenir le maître du monde en BD. Ayant fait de simples études d’Arts Appliqués, elle se croit super balèze et propose donc une séance de dédicaces de BD encore inexistantes (mais ça ne saurait tarder puisqu’un contrat est en cours chez Paquet en collaboration avec deux scénaristes naïfs qui croient pouvoir réussir avec elle). Lolo-Chan a pris la grosse tête quand elle a publié deux épisodes de L’Ombre d’Honami écrit par Olivier Paillé dans le magazine pour enfants Manga Kids +. Elle est, depuis, devenue invivable…

 


source : Little Akihabara